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les acteurs du petit nicolas avaient de jolis petits derrières, surtout charles vaillant et maxime godard.
Par Julien , le 21.08.2024
oui
Par Julien , le 21.08.2024
maxime godard avait un mignon petit ***.
Par Julien , le 21.08.2024
joli
Par Julien , le 21.08.2024
je suis le réalisateur des films de christian anglade sur les paysans ar des années 70dechois
Par Anglade christian, le 06.04.2024
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Date de création : 16.01.2009
Dernière mise à jour :
10.09.2010
781 articles

Le 30 septembre 1955, alors âgé de 24 ans, James Dean trouve la mort dans un accident de voiture. A une vitesse de 200km/h. A la vitesse d’une étoile filante. En deux pièces de théâtre et trois films, le jeune acteur parvient alors à inscrire son nom et son visage dans le cercle très fermé des légendes du XXème siècle. Auprès de Marilyn, JFK, Elvis ou Michael. Elia Kazan, qui l’a dirigé dans "A l’est d’Eden", explique ce succès par une raison bien simple : "il nous a livrés un morceau de sa vie, une part de son intimité".
Au départ tout n’était pas rose pour James... Issu d’une famille puritaine -le père favorisant une éducation quaker et la mère engoncée dans une lignée méthodiste-, le futur acteur coule des jours sans histoire jusqu’à ce que sa mère développe un cancer qui l’emporte. L’enfant doit alors apprendre à grandir sans cette génitrice qui lui souhaitait une carrière d’artiste. Il essaye de tenir le coup. A l’école, il travaille bien mais essuie souvent les railleries de ses camarades. Il lui faudra attendre 1946 pour qu’arrive cette rencontre déterminante. En effet, il croise la route d’un pasteur qui l’initie à la musique classique, à la culture européenne, au cinéma, à la corrida... Bref, à la vie ! Gorgé de curiosité, l’adolescent de 15 ans s’intéresse à tout et s’ouvre au monde. Bientôt, il rejoint la Californie avec ces rêves que la Cité des anges est capable d’exaucer. Au Théâtre Miller, son talent commence à éclore et explose lorsqu’il rejoint New York et le mythique Actor’s Studio. Son physique atypique le propulse sur les feux de la rampe et ses trois rôles dans "La fureur de vivre", "A l’est d’Eden" et "Géant" suffisent à mettre en lumière son génie.
Loin de l’image de l’acteur américain viril (Gable, Wayne, Cooper...) qu’il a bousculé, Dean a imposé une nouvelle façon d’être mâle. Tourmenté, vulnérable, cette amoureux de la vitesse a vécu sa vie en accéléré, brûlant la chandelle par les deux bouts, incarnant à lui seul l’adolescence rebelle des fifties. Sa mort accidentelle parachève son statut de légende bien qu’il demeure, aux yeux de beaucoup, une énigme dans une nébuleuse. James Dean – Images d’une vie, sublime livre paru aux Editions YB et doté d’une mise en page claire et élégante, pourra peut-être vous aider à déceler une pièce du puzzle. Riche en photos, il retrace l’existence du comédien à travers son enfance, ses balades à New York, ses cours de danse, sa passion pour la corrida... Et parmi toutes ces perles, trône un instantané émouvant, déroutant, bouleversant dans lequel l’acteur essaye un cercueil, mine amusée, dans un magasin de meubles. Ironie du sort, sept mois plus tard, celui que Brando baptisait "le garçon perdu qui essayait de se trouver" trace sa route céleste. Un ouvrage à lire, à voir et à (s’)offrir.
James Dean - Les images d'une vie, YB Editions, 192 pages, 38€
A découvir également dans la même collection, Cary Grant
Jadooor james dean.. je vais essayer de l'acheté si g encor des sous ^^J'ai revu il y a peu de tps la fureur de vivre... quel acteur !!Ecrire un commentaire